dimanche 30 mai 2010
lundi 29 décembre 2008
La ligne jaune indique que le constructeur avait pensé au problème et qu’il avait pratiqué une entaille dans la flasque pour que l’huile puisse s’écouler sans contaminer les freins.
Le résultat !!! On l’a vu.
Il faut empêcher l’huile de venir sur l’axe : si il y a fuite, elle doit rester derrière la flasque porte freins et descendre par l’entaille.
J’ai pensé à une solution.
Il y a 2 millimètres entre la flasque et le bourrage.
J’ai donc préparé une rondelle de 1 millimètre que j’ai rectifiée à la cote de l’axe +2/3 centièmes.
Elle ne touche que l’axe !!! (Ligne verte)
L’huile sera obligée de rester dans le logement du bourrage et de redescendre par l’entaille.
Le résultat !!! On l’a vu.
Il faut empêcher l’huile de venir sur l’axe : si il y a fuite, elle doit rester derrière la flasque porte freins et descendre par l’entaille.
J’ai pensé à une solution.
Il y a 2 millimètres entre la flasque et le bourrage.
J’ai donc préparé une rondelle de 1 millimètre que j’ai rectifiée à la cote de l’axe +2/3 centièmes.
Elle ne touche que l’axe !!! (Ligne verte)
L’huile sera obligée de rester dans le logement du bourrage et de redescendre par l’entaille.
On remarque que l’axe côté planétaires est marqué.
Passons aux solutions.
1---Remplacer les bourrages.
2---Placer sur les axes des manchons d’usure « Speedi-Sleeve » pour annuler les marques et récupérer 50 centièmes de millimètre sur le diamètre. C’est toujours cela de gagné.
Il subsiste cependant un doute quant à l’étanchéité dans le futur.
Passons aux solutions.
1---Remplacer les bourrages.
2---Placer sur les axes des manchons d’usure « Speedi-Sleeve » pour annuler les marques et récupérer 50 centièmes de millimètre sur le diamètre. C’est toujours cela de gagné.
Il subsiste cependant un doute quant à l’étanchéité dans le futur.
dimanche 28 décembre 2008
Explications des fuites.
L’arbre numéro 24 qui fait la liaison entre la sortie du différentiel et les planétaires du réducteur de roue dans le 21 n’est pas supporté correctement.
Du côté différentiel, les petites cannelures ont un peu de jeu : après 16.000 heures cela me semble normal.
Du côté des planétaires, il y a également une légère usure mais pas de pallier de support.
Il est donc normal que le bourrage se détruise assez vite.
L’arbre numéro 24 qui fait la liaison entre la sortie du différentiel et les planétaires du réducteur de roue dans le 21 n’est pas supporté correctement.
Du côté différentiel, les petites cannelures ont un peu de jeu : après 16.000 heures cela me semble normal.
Du côté des planétaires, il y a également une légère usure mais pas de pallier de support.
Il est donc normal que le bourrage se détruise assez vite.
Après démontage de la flasque de frein à main on constate que tout cela a déjà fait l’objet d’une visite précédente. (Pas moi)
De la pâte à joint bleue ???
Le bourrage est un peu durci et c’est normal mais pas au point de laisser passer de l’huile.
Ce qui me fait dire cela ???, nous le saurons tout à l’heure.
De la pâte à joint bleue ???
Le bourrage est un peu durci et c’est normal mais pas au point de laisser passer de l’huile.
Ce qui me fait dire cela ???, nous le saurons tout à l’heure.
Je démonte à nouveau les trompettes de pont.
Pourquoi ?
Hé bien, je vais vous le dire. (Se souvenir de Sarkozy dans les guignols !!!)
Durant la saison, j’ai rencontré des personnes qui me demandaient si je n’avais pas de problèmes de freins.
Tout ayant été remis à neuf (sauf les garnitures qui me semblaient correctes) je répondais toujours « non ».
C’était la maladie des Schlüter à l’époque semblait on m’affirmer.
Cependant, après avoir bien travaillé dans les champs après la moisson, je me suis rendu compte que les freins fonctionnaient de moins en moins bien et que cela coïncidait avec l’apparition d’huile en bas des trompettes !!!
Il ne m’a pas fallu longtemps pour en déduire qu’il y avait certainement relation de cause à effet.
Nous allons en savoir plus maintenant.
Pourquoi ?
Hé bien, je vais vous le dire. (Se souvenir de Sarkozy dans les guignols !!!)
Durant la saison, j’ai rencontré des personnes qui me demandaient si je n’avais pas de problèmes de freins.
Tout ayant été remis à neuf (sauf les garnitures qui me semblaient correctes) je répondais toujours « non ».
C’était la maladie des Schlüter à l’époque semblait on m’affirmer.
Cependant, après avoir bien travaillé dans les champs après la moisson, je me suis rendu compte que les freins fonctionnaient de moins en moins bien et que cela coïncidait avec l’apparition d’huile en bas des trompettes !!!
Il ne m’a pas fallu longtemps pour en déduire qu’il y avait certainement relation de cause à effet.
Nous allons en savoir plus maintenant.
mercredi 17 décembre 2008
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